Musique
- Si chers concertswww.monde-diplomatique.fr Si chers concerts
En kiosques // par Jean-Christophe Servant (octobre 2024)
Dans les coulisses des festivals de l’été, c’était le grand sujet de conversation : Ticketmaster, la filiale billetterie du californien Live Nation, l’acteur le plus important du monde du spectacle vivant, est poursuivie par la division antitrust du ministère de la justice américain (1). La multinationale est accusée d’exercer un monopole illégal, entaché de menaces et de pressions, sur le marché des concerts aux États-Unis, au détriment des fans, des artistes, des petits promoteurs et des exploitants de salles. Live Nation contrôle plus de 80 % des ventes de billets outre-Atlantique et en assure l’exclusivité pour ses propres salles et pour les artistes dont elle produit les tournées. L’action en justice fédérale — qui pourrait déboucher sur le démantèlement de Ticketmaster — devrait conduire à un remodelage occidental de l’écosystème du concert et du festival au profit de ses concurrents. D’abord aux États-Unis, mais aussi dans l’Union européenne et en France, son exception culturelle, son maillage territorial unique, ses 7,7 millions de festivaliers (2023) et son économie mixte, largement associative, compris.
L’année dernière, Live Nation, coté à la Bourse de New York, valorisé à 23 milliards de dollars, a produit 50 000 événements musicaux de par le monde devant 145 millions de spectateurs. Il pratique une stratégie verticale d’achats et d’accords à 360 degrés — englobant acquisition de salles, de festivals et de tourneurs, ainsi que la constitution d’une écurie d’artistes. Un « portefeuille » de plus de 3 300 groupes en tournée, 373 salles dans le monde, sans oublier Ticketmaster, sa « machine à cash », aux données clients monétisables, acquise en 2010 : voilà ce qui lui permet de contrôler l’ensemble de la chaîne de valeur du secteur.
Au début des années 2000, marquées par la crise de la musique enregistrée, est intervenu un mouvement de reconfiguration capitalistique dans une économie jusqu’alors largement marchande et artisanale. Le music business se cherche de nouveaux relais de croissance : ce seront le concert, l’édition et le catalogue d’artistes — à titre d’exemple : le catalogue musical de Queen vient d’être vendu par les ayants droit à Sony pour 1 milliard de livres sterling (1,18 milliard d’euros). Les cachets commencent à s’envoler et stimulent l’intérêt d’investisseurs objectivement porteurs de valeurs éloignées de celles qu’affichent ces rassemblements festifs. C’est le cas du libertarien John C. Malone, qui est, via son groupe Liberty Media, l’actionnaire majoritaire de Live Nation. La société de gestion d’actifs BlackRock et le fonds souverain d’Arabie saoudite sont eux aussi présents dans le capital de la multinationale du spectacle vivant.
En France, sa filiale, opérationnelle depuis 2007, s’est concentrée sur l’organisation de tournées tout en reprenant les rênes du festival Main Square d’Arras, et en créant les déclinaisons françaises du Lollapalooza américain et du I Love Techno belge. C’est peu, comparé aux 1 700 festivals de musiques actuelles recensés en 2023 dans l’Hexagone. « Mais avec leurs catalogues d’artistes, ces géants peuvent, même sans investir dans des festivals, avoir une influence déterminante sur leur programmation, comme par exemple les Eurockéennes (2) », souligne Emmanuel Négrier, directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Un point de vue confirmé par M. Florent Sanseigne, cofondateur et directeur du rendez-vous jurassien No Logo, tourné vers le reggae et ses héritages, dont la onzième édition vient une nouvelle fois d’être montée « sans bénévoles ni aucune aide extérieure publique ou privée ». « Mais si l’on veut une pointure, explique-t-il, on est forcés de passer par Live Nation ou par AEG [Anschutz Entertainment Group]… En fait, nous mettons tous des pièces dans la machine, même les plus indépendants et farouchement anti-fonds de pension ! »
Live Nation, en France comme au Royaume-Uni ou en Allemagne, se livre à une compétition acharnée avec AEG, lui aussi californien. Outre ses vingt-cinq festivals, dont Coachella, l’un des plus importants des États-Unis, ce groupe compte un impressionnant ensemble de salles — de l’O2 Arena de Londres au Staples Center de Los Angeles — et une écurie d’artistes en tournée allant des Rolling Stones au rappeur Tyler, The Creator. Mais la concurrence n’empêche pas les arrangements. Si Ticketmaster a assuré la billetterie de la tournée mondiale de l’Américaine Taylor Swift — non sans polémiques, notamment sur les prix des billets —, c’est la filiale française d’AEG qui a organisé ses six récentes représentations françaises. Il est à se demander d’ailleurs si le music business n’aurait pas une forte aptitude aux arrangements dans toutes sortes de domaines. Le patron d’AEG, M. Philip Anschutz, à la tête d’une fortune bâtie dans les ressources fossiles et le rail, est un républicain ultraconservateur « pro-vie » et climato-sceptique. Sous le mandat du socialiste Bertrand Delanoë, sa multinationale a d’abord obtenu un contrat de délégation de service public de la mairie de Paris. Depuis 2013, AEG est le coactionnaire à 43 % du Palais omnisports de Paris-Bercy (POPB), renommé Accor Arena, avec ses vingt mille places. Qu’importe que la chambre régionale des comptes (CRC) reproche à la Ville de Paris d’avoir « abandonné [à AEG] sa prééminence sur la gouvernance » de la salle, « bien que sa participation au capital social reste majoritaire et que son soutien financier aille très au-delà » (3)… AEG, via la société d’économie mixte codétenue avec la Ville de Paris, a pu en 2022 mettre un pied dans l’historique Bataclan, où elle produit des concerts, comme dans le nouvel Adidas Arena, enceinte couverte vouée aux sports et à la culture. Moins surprenant, AEG a su se trouver d’autres alliés, quoique éventuellement concurrents, comme M. Vincent Bolloré ou M. Marc Ladreit de Lacharrière — engagés sur la nouvelle frontière du live et des salles de concert, beaucoup moins taxés que le disque (à peine 9 %, contre 20 %) : l’Olympia et une dizaine de festivals en France et au Royaume-Uni pour le premier, propriétaire de Vivendi Village, filiale du groupe Vivendi ; la salle Pleyel et plusieurs Zénith, entre autres, pour le second, patron de la société de holding Fimalac. AEG codétient aussi Rock en Seine, aux côtés de M. Matthieu Pigasse, président de Combat Media, groupe indépendant, qui compte parmi ses actifs Radio Nova et Les Inrockuptibles. Autant de « synergies » qui se sont mises en place.
Inflation de concerts, un festival sur quatre affichant complet et 85 % annonçant une affluence record : 2023 a été marquée par l’« euphorie retrouvée » (Le Monde,10 février 2024) des professionnels. Largement subventionné, le duo de tête — Les Eurockéennes de Belfort, Les Vieilles Charrues, réunis dans la fédération internationale De Concert ! (vingt-neuf membres) — ne se plaint pas. Mais il s’interroge. Car l’écosystème français est entré dans une crise financière durable qui menace les acteurs de deuxième ligne. Parmi les festivals indépendants adhérents du Syndicat des musiques actuelles (SMA), 43 % ont terminé l’année 2023 déficitaires, plombés par l’inflation des cachets — une augmentation de près de 50 % entre 2015 et 2022 — et la hausse des frais généraux, liée au renforcement de la sécurité et au coût de l’énergie. « Là où il fallait, avant le Covid, une jauge à 95 % [pour être rentable], explique M. Philippe Gautier, secrétaire général du SNAM-CGT (Union nationale des syndicats d’artistes musiciens - Confédération générale du travail), il faut désormais 97 à 99 % . » De quoi aviver l’intérêt des mastodontes du secteur, qui cherchent désormais à s’implanter en dehors de la région parisienne.
Au SMA, on s’inquiète particulièrement du devenir des festivals intermédiaires généralistes, qui peuvent réunir de 30 000 à 50 000 personnes sur trois jours. S’ils pouvaient jadis proposer des affiches internationales, ce n’est plus le cas, confirme M. Stéphane Krasniewski, directeur du Festival Les Suds, à Arles, et vice-président du syndicat. Dorénavant, une tête d’affiche française (Indochine, Orelsan, Aya Nakamura…) peut exiger un cachet de plus de 300 000 euros, et les artistes internationaux franchissent régulièrement le million — 1,5 million d’euros pour Billie Eilish à Rock en Seine en 2023. Dans le même temps, « les subventions publiques — des régions aux métropoles — n’ont pas augmenté, voire ont baissé sous l’effet de l’inflation », poursuit M. Krasniewski. Enfin, dans un contexte où les collectivités locales soutiennent les festivals qui leur paraissent capables de servir leur marketing territorial, « les logiques de subvention tendent à être remplacées par celles des appels à projets, qui garantissent moins d’autonomie et d’indépendance artistique ». Tout en favorisant les propositions clés en main des multinationales.
De 2017 à 2021, le festival marseillais Marsatac, défricheur de musiques urbaines depuis 1999, s’est associé à Live Nation France « pour prendre plus de risques économiques sans que notre programmation soit dénaturée », selon Mme Béatrice Desgranges, sa cofondatrice. En d’autres termes, il s’agissait d’une coproduction. Mais, depuis la sortie du Covid en 2022, l’équipe refait cavalier seul : « Nous ne voulions plus rentrer dans cette course à l’échalote du toujours plus gros, toujours plus grand. » Le festival a changé de site, la jauge a été revue à la baisse — de 21 000 à 15 000 personnes par jour. Mais « 2024 risque de marquer un point de rupture pour de nombreux petits festivals face à la surenchère des gros concerts et événements », s’inquiète Mme Desgranges. Dernier en date, Golden Coast, monté par l’équipe de M. Pigasse à Dijon, qui s’est tenu les 13 et 14 septembre derniers. Ambitionnant de devenir le « Hellfest du rap », le festival a été subventionné à hauteur de 150 000 euros par la métropole présidée par M. François Rebsamen tout en s’appuyant largement sur l’emploi du « pass culture » — alloué par l’État aux 15-18 ans — pour vendre ses propres « pass 2 jours » à 139 euros.
Entre 2019 et 2022, le Stade de France, 80 000 places, a doublé le nombre de ses représentations. Pendant ce temps, les salles de moins de 1 000 places, la plus grosse partie du parc français, ont vu leurs recettes fondre de 38 %. Si les grosses tournées — dans des enceintes de plus de 6 000 places — représentaient il y a dix ans 30 % des billets vendus, ce taux a atteint 42 % en 2023. Des billets dont les prix, selon notamment le Centre national de la musique (CNM), ont augmenté en moyenne de 15 % depuis 2019. Et jusqu’à 31 % pour les stars internationales se produisant dans des stades et certains festivals. Flambée similaire côté nourriture, boissons et produits dérivés…
Depuis la fin de la pandémie, le public français privilégie à l’évidence les succès commerciaux à la découverte d’artistes émergents… qui ne peuvent pourtant compter que sur la scène pour survivre. Le festivalier, issu à 60 % des classes supérieures (contre 13 % des classes populaires), participe ainsi de plus en plus à l’instauration d’une monoculture pop marquée par la suprématie des musiques urbaines, et largement relayée par les plates-formes de streaming. Pour Mme Desgranges, un public de jeunes adultes émerge, « plus consumériste que la génération précédente, grâce aux liens tissés avec ses artistes préférés sur les réseaux sociaux et les plates-formes à la Spotify, qui dictent les tendances ». Ce que confirme le journaliste musical Sophian Fanen, collaborateur des Jours : « Nous sommes entrés dans l’économie du fan. On ne va plus écouter un artiste, on va voir un événement. Et cette “expérience” doit être partagée en direct sur les réseaux sociaux. » Or cette monoculture correspond aux propositions des gros opérateurs, dont l’offensive en France se précise, avertit à nouveau Emmanuel Négrier, car « ils anticipent la déréglementation et la baisse des subventions publiques mais aussi la mise en œuvre de traités commerciaux, comme le CETA [Accord économique et commercial global, entre l’Union européenne et le Canada], qui exclut le secteur musical du champ d’application de l’exception culturelle… ».
Quid des artistes ? M. Krasniewski confie : « Il devrait y avoir plus de questionnement quand on signe avec AEG, Combat, Bolloré ou Live Nation. »
- Ce n’est pas parce que l’extraordinaire album de TH a moins marché qu’on l’espérait qu’il ne faut pas en reparler trois mois après sa sortiemusique-journal.fr Ce n’est pas parce que l’extraordinaire album de TH a moins marché qu’on l’espérait qu’il ne faut pas en reparler trois mois après sa sortie – Musique Journal
J’ai pas mal hésité avant de me lancer et de parler du premier album de TH, E-TRAP, sorti il y a trois mois déjà. Déjà parce que pour traiter du rap français de manière crédible en France, il faut désormais afficher un niveau d’érudition surélevé, incomparable à celui exigé par la critique des autre...
- Tina Turner - Proud Mary - 1982
Tina Turner - Proud Mary - 1982
@musique yewtu.be/watch?v=91D-c7MqOtQ
I can't get enough of her voice and playful demenor. Listening to fer again, again, i'm restless. She is amazing, a blazing queen.
High and powerful as the sun. Isn't it amazing the a simple music video can find a way to your mind and heart and lift your mood.
Maybe you prefer a different music style and wander throigh various connection from past, to futur.
Well, that's just Tina. Thank to ya. :)
- Tina Turner - Proud Mary - 1982
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- High Vis - Mind's a Lie
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Chouette instru, chouette esthétique, chouette chant, chouette clip.
- Bloodywood - Dana Dan (Indian Folk Metal) - YouTube
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Dana Dan is a graphic commentary on sexual assault and the need to eliminate it. It begins with the reflexive, almost homicidal rage we feel when we hear about these crimes, before moving on to a more level headed call to arms. It culminates in a gentle appeal for all of us to reflect on the role we play in creating a world where atrocities of this nature are committed and to work towards eliminating it altogether.
- Guide à l'usage des médias pour (ne pas ) interviewer Manu Chaowww.arretsurimages.net Guide à l'usage des médias pour (ne pas ) interviewer Manu Chao - Par Maxime Pionneau | Arrêt sur images
Manu Chao est insaisissable. Même pour Arrêt sur images.
- Jump style/harstyle, Ze Tubz :Project one - life beyond earth
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- Playlist de Bass music US récente
Grosses Basses du label Street Ritua
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Laurent Garnier est de retour sur les ondes radiophoniques tous les premiers samedis du mois sur FIP. Une aventure musicale éclectique qui promet de transcender les genres et les tendances.
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Ca y est, fin du suspens pour les fans de Linkin Park, l’info qu’ils attendaient depuis 7 ans maintenant, et le décès...
- [Afrobeat] Na poi, fela kuti
[Afrobeat] Na poi, fela kuti
Le tik tak du début est superbe et très jolie. Et c'est étrange de le sentir dans le cerveau, j'ai jamais ressenti un truc comme ça. Le son c'était quelque chose d'externe et là ça prend tout mon émisphère.
- [Retro] Super Mario Bros
[Retro] Super Mario Bros
Bref je met les musiques qui tournent sur l'implant :)
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- Tout va très bien, Madame la Marquise (Remastered)
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Paroles
Allô, allô James ! Quelles nouvelles ? Absente depuis quinze jours, Au bout du fil Je vous appelle ; Que trouverai-je à mon retour ?
Tout va très bien, Madame la Marquise, Tout va très bien, tout va très bien. Pourtant, il faut, il faut que l'on vous dise, On déplore un tout petit rien : Un incident, une bêtise, La mort de votre jument grise, Mais, à part ça, Madame la Marquise Tout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô Martin ! Quelles nouvelles ? Ma jument gris' morte aujourd'hui ! Expliquez-moi Cocher fidèle, Comment cela s'est-il produit ,
Cela n'est rien, Madame la Marquise, Cela n'est rien, tout va très bien. Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise, On déplore un tout petit rien : Elle a péri Dans l'incendie Qui détruisit vos écuries. Mais, à part ça, Madame la Marquise Tout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô Pascal ! Quelles nouvelles ? Mes écuries ont donc brûlé ? Expliquez-moi Mon chef modèle, Comment cela s'est-il passé ?
Cela n'est rien, Madame la Marquise, Cela n'est rien, tout va très bien. Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise, On déplore un tout petit rien : Si l'écurie brûla, Madame, C'est qu'le château était en flammes. Mais, à part ça, Madame la Marquise Tout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô Lucas ! Quelles nouvelles ? Notre château est donc détruit ! Expliquez-moi Car je chancelle Comment cela s'est-il produit ?
Eh bien ! Voila, Madame la Marquise, Apprenant qu'il était ruiné, A pein' fut-il rev'nu de sa surprise Que M'sieur l'Marquis s'est suicidé, Et c'est en ramassant la pell' Qu'il renversa tout's les chandelles, Mettant le feu à tout l'château Qui s'consuma de bas en haut ; Le vent soufflant sur l'incendie, Le propagea sur l'écurie, Et c'est ainsi qu'en un moment On vit périr votre jument ! Mais, à part ça, Madame la Marquise, Tout va très bien, tout va très bien.
- EARTHQUAKE IV [FULL ALBUM 236:06 MIN] "THE ULTIMATE HARDCORE COLLECTION" 1996 HQ CD1+CD2+TRACKLIST - YouTube
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- [Electro post-africaine - jungle] Eyes Go Blank - Kode9
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- Samouraï Pizza Cats - Pizza homicide
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Petit délire du moment!
- Flashcore
Aujourd'hui j'ai découvert le flashcore, un sous-genre expérimental du speedcore.
Toutes mes condoléances à vos tympans.
- Plongez dans l’hyperpop en dix titres phareswww.telerama.fr Plongez dans l’hyperpop en dix titres phares
Vous êtes encore novice et avez du mal à identifier les principaux artistes de la vague hyperpop ? En dix morceaux, signés A.G. Cook, Charli XCX ou SOPHIE, notre top va vous mettre à niveau.
- J'finirai seul dans un coquillage
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Morceau de malade, très trip hop dans l'esprit
- Panda Dub - Artist from ODGProd | Original Dub Gathering since 2005
Shapes and shadow et the lost ship sont deux albums au top. Le reste est très bon aussi.
- NTS RUSH: Objekt | mix - techno d'apérowww.nts.live NTS RUSH: Objekt | NTS
NTS is a global radio platform broadcasting music from over 50 cities around the globe, live 24/7.
NTS RUSH: Objekt 31.07.24
On this week’s edition of the NTS RUSH Mix, trippy techno party rockers and futurist funkiness from a master of the form: Objekt.
- Punk - Lambrini Girls - God's Country
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Bon, je vais me la refaire avec une bière tiède.
- Playlist des gauchistes du fédiverse 🤩
Playlist des gauchistes du fédiverse 🤩
eldritch.cafe/@Tudwall/112910262142371812 @Tudwall -
J'ai ajouté beaucoup de vos suggestions et pour l'instant j'en suis à 70 titres en tout genre, merci beaucoup à tous !
Voici la playlist !
Https://open.spotify.com/playlist/1ijO1tlHkAimARYvp04tpM?si=dd1d86ee5a6d4cf2
Je continue de chercher des morceaux à rajouter, vos suggestions sont toujours les bienvenues ! :D
Merci @lokigwyn pour m'avoir autorisé à utiliser son travail pour la couverture !
J'espère que ça vous plaira !
Les contributeur·euse·s: @PrincessConnasse @Bullzebuth @rubro @elzen @jeeynet @the\_MITM @AntoineD @ThatWeltschmerz @patleguen7 @Peterclarris @eosphore @heldum @dodosan
- À la rencontre des punks de culture musulmane | Tracks | ARTE
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- j'ai trouvé une nouvelle webradio qui déchire
Alors je partage.
Ca bouge, ca change, le style dépent vraiment des emissions mais le niveau de séléction est top.
- Festival Voix Vives 2016 : Roula Safar
Festival Voix Vives 2016 : Roula Safar
invidious.fdn.fr/watch?v=HZxm8Rs8R\_E
Une aitreqde ses performances en 2016, à Sète. Elle est bien non ? :)
- Aatini al naya (Gibran/Hankache) interprété par Roula Safar
Aatini al naya (Gibran/Hankache) interprété par Roula Safar
invidious.fdn.fr/watch?v=DKBgSMnajxQ
Découvert lors du festival Vives Voix à Sète. J'ai trouvé sa musique et ses chants très beaux. :3
- LSF Debout - Chansigne "Porcherie"peertube.s2s.video LSF Debout - Chansigne "Porcherie"
Rejoignez-nous : Libre adaptation chansigne de la chanson « Porcherie 2024 » du collectif d’artistes la Riposte Populaire, reprise du célèbre titre contre l’extrême droite du groupe les Béruriers Noirs. Ce collectif éphémère d'artistes, de citoyens, de citoyennes s'est formé pour ré-enregistrer l'em...
Aujourd'hui j'ai appris dire porcherie en LSF 😁
🐷🐷🐷
👱🏼💩🔥🇨🇵
- « L’Amour », un “chansigne” de Levent Beskardes (15/01/2017)peertube.s2s.video « L’Amour », un “chansigne” de Levent Beskardes (15/01/2017)
Dans le cadre du programme « Avec les yeux d’un sourd » (14/15 janvier 2017) Film d’archives réalisé par Guillaume de La Forest Divonne. © MAC VAL, Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, 2017
publication croisée depuis : https://peertube.s2s.video/videos/watch/35fdc3ea-0600-4bd2-bbf6-b6f499ad4484
> Dans le cadre du programme « Avec les yeux d’un sourd » (14/15 janvier 2017) > > Film d’archives réalisé par Guillaume de La Forest Divonne. © MAC VAL, Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, 2017
- Manu. (Ganesh2)
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